La fragilisation par l'hydrogène
Sa prévention enfin rendue accessible
Bien comprendre la fragilisation par l'hydrogène
Les industriels travaillant dans les secteurs du nucléaire, de l’aéronautique, des transports (véhicules automobiles ou ferroviaires) ou encore des nouvelles technologies connaissent bien les problématiques de la corrosion et de la fragilisation des métaux et des alliages métalliques qui entraînent la fissuration et la rupture des composants mécaniques.
Une des principales causes de l’usure est la présence d’atomes d’hydrogène indétectables par les méthodes de contrôle, entraînant d’importants problèmes de sécurité et coûts.
Vous désirez en savoir plus sur la corrosion sous contrainte, la fatigue-corrosion ou la fragilisation par l’hydrogène ? Lire cet excellent article
Voir également le site du CEFRACOR ou celui des techniques de l’ingénieur (payant).
Les méthodes d'analyse d'hydrogène traditionnelles
Cette méthode permet de connaître la teneur globale en hydrogène d’un échantillon et ce avec une limite de détection de quelques ppm (partie par million = 1 / 1 000 000).
Cette une méthode est certes accessible mais n’offre pas une précision suffisante pour bien localiser l’hydrogène.
En effet, la localisation de l’hydrogène dans les matériaux n’est pas homogène, cet hydrogène peut se concentrer fortement dans certaines phases métalliques ou aux joints de grains, il peut être aussi diffus. Il peut donc y avoir une teneur moyenne d’hydrogène faible (inférieure à la limite de détection de la Fusion / TDS) avec des teneurs locales très élevées (plusieurs centaines de ppm) et dans certains cas formation d’hydrures. C’est ce phénomène de formation d’hydrures qui fragilise les matériaux.
Des performances inégalées



La technique de micro-analyse d’hydrogène (HMA) de LASALYS est 70 fois plus rapide que la technique de référence actuelle, ERDA, et dispose d’une résolution 2 fois et demi plus élevée, pour un coût divisé par 10.
Les secteurs d'activités concernés




La présence d’hydrogène dans les alliages métalliques induit des risques de fragilisation et de rupture de ces matériaux : ces risques peuvent rapidement être critiques dans les secteurs du nucléaire, de l’aéronautique, de l’automobile, ou encore des nouvelles énergies.